Poésie noire

Grands esprits des anciens.
Écoutez cet appelle,
Car il est solenelle.

Je vous en conjure.
Ne laissez pas l'ennemi trionphé de moi.
Ne m'apportez pas la honte devant mes frères.

Je vous en prie esprits des anciens,
Ma détermination est profonde.
Que votre pouvoir soit miens.

Donnez moi le courage qui fût votre,
Dans les temps obscures.
Ma loyauté n'est pas de mauvaise ogure.

Ne me rejetez pas dans l'adversité,
Ne me blamez pas pour ma mort.

Je m'en remet à vous,
Car une âme perdu je suis,
Mais un sodat fidel je reste.

-Seper fidelis-

Le salut éternel

Quand dans mon déclin, j'invoquerais les anciens.
Et que dans les larmes de ma Douce se refletteras la souffrance.
Souffrance d'une blessure qui me lance.

Alors c'est dans la rédemption,
Que se trouvera le salut.
Salut du fiert soldat que je fûs.

Que les âmes déchuts prennent gardes,
Car moi, fiert soldat,
Je rejoindrais bientôt les ténèbres,
Et ce, jusqu'à ma renaissance.

Sèche tes larmes ma belle, car
Mon coeur t'appartiend et mon âme,
À jamais te restera fidèle.

Songe à ma pensé,
Et toujours je te serais dévoué.

Voilà esprits. Je suis prêt.
Que ma rédemption présente,
Épargne mon âme peusente.

Que mon repant, éclaire l'obsurité,
Car c'est des ténèbre que jaïe la lumière....

-Honoris, fidelis, sacificium-

Pluie funèbre


Depuis quand suis-je là ?
Pourquoi la mort ne viens pas ?

Est-ce ça la souffrance ?
Cette souffrance si palpable dans mes sens.

Depuis quand saignais-je ?
Ce sang qui coulais jadïs dans mes veines.
Ce sang conrompue par la haine.

Et toi, ma belle des tristes jours.
Ma souffrance se reflette dans tes larmes ?
Et cette pluie. Cette pluie dont les gouttes reflette le mal.

Oui, j'ai mal en moi. Mon âme n'est pas saine !
Et la mort ne viens pas.

Il pleut toujours dans ce monde de souffrance.
Que faire ma belle ?
Que faire pour mourir en accord avec les esprits ?

Et si ma souffrance se reflettais dans la pluie ?
Le monde souffrirait-il ?
Je pense que oui.
Ne pleure plus et sèche tes larmes.

Si ma souffrance est vaine,
Alors le monde souffrira !
Mais au fait ?
L'humanite souffre t-elle déjà ?

-Dolar, Sarcificium ac Fatum-

Prouve moi que je t'aime


Quand j'ai posé mon regard sur toi,
J'ai su...

Quand je t'ai vue cette première fois,
J'ai su, que c'était toi...

Tes yeux dans les miens, pour notre permier baiser,
Je fûs dépassé, dépassé par cette première fois.

Depuis ce jour je t'ai aimer, mais aujourd'hui...
Je doute, je doute de ma sincerité.
Je doute alors que je n'aime que toi.

Prouve moi que je t'aime. C'est toi la belle de mes rêve.
Prouve moi que tu ne m'est pas indifférente.
Prouve moi que ma vie doit être vécue.
Car sans toi je ne peut vivre.

Prouve moi que te perdre me turais.
Prouve moi que la souffrance des jour sans toi,
C'est de l'amour...
Prouve moi que cette amour n'est pas un hasard.

Ne me prouve pas que je veux vivre avec toi
Car maintenant, je le sais déjà...

-amor ac dolar-

Un monde de haine


Alors que la haine est issue de la peur,
La peur n'est finalement qu'une haine.

Mais qu'est ce que la peur pour un homme sans haine ?
La haine est le côté infame du courage,
Mais la vie sans haine n'est pas une vie réelle.

La peur menne à la haine,
Car dans le combat éterne,
C'est pour plus de pouvoir,
Que l'on haie son adversaire

La vie sans peur est-elle un rêve ?
La vie à l'abri de la haine peut-elle existée ?
Mais la vie en elle même est une peur:

La peur de mourir dans un monde de haine...

-vires ac fidusia-